miércoles, 13 de abril de 2011

Aline




J'avais dessiné sur le sable
Son doux visage qui me souriait
Puis il a plu sur cette plage
Dans cet orage, elle a disparu

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine

Je me suis assis près de son âme
Mais la belle dame s'était enfuie
Je l'ai cherchée sans plus y croire
Et sans un espoir, pour me guider

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine

Je n'ai gardé que ce doux visage
Comme une épave sur le sable mouillé

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine
CHRISTOPHE

JOHHHY HALLADAY



UN JOUR VIENDRA

Un jour viendra tu me diras "je t'aime"
Du bout du coeur...
Mais le dire quand même
Un simple mot, et l'aveu
D'une larme au bord de tes yeux
Feront de moi un homme heureux

Un jour viendra, tu sauras
Toutes ces choses
Qui ont fait ma vie
Bien plus noire que rose
Tu comprendras mes pudeurs
Et tous ces mots qui me font peur
Que j'ai cachés... Comme un voleur

Toi c'est le ciel qui t'a envoyée
Vers moi pour me réapprendre à aimer
Attends... Laisse faire les jours
Laisse le temps au temps... et à l'amour

Un jour viendra tu me dira "je t'aime"
Et j'aimerai...

Un jour viendra tu me diras "je t'aime"
Du bout des yeux...
Mais le dire quand même
Dans le ciel de ton regard
Lire ton désir est ma victoire
Un jour viendra... Tu m'aimeras

Toi, c'est la vie qui t'a envoyée
Vers moi... Qui n'ai jamais fait
Que passer
A côté des choses essentielles
Par défi pour brûler mes ailes

Un jour viendra tu me diras "je t'aime"
Et j'aimerai

Attends... Laisse faire les jours
Laisse le temps au temps... Et à l'amour

Un jour viendra, tu me diras "je t'aime"
Et je t'aimerai, je t'aimerai, je t'aimerai
Je t'aimerai

martes, 5 de abril de 2011

J. Prévert /F. Pagny






« Six novembre dix-neuf cent soixante et un , Maternité, des berceaux , midi moins vingt T'arrives sur cette terre , Tu n'y vois pas bien clair, Ils viennent de te donner la vie, MERCI A tous les deux ».

Florent est né à Châlon sur Saône dans une famille modeste mais riche d'amour comptant déjà deux enfants: Frédéric et Marie-Pierre. Alors qu'elle porte Florent, Odile, cette maman à la voix superbe, lui chante l'opéra. Pas étonnant qu'en arrivant sur cette terre, il sache déjà chanter....Grand-père paternel lui aussi étonnait par sa voix. Il faisait vibrer les murs des églises et même les fidèles en chantant des cantiques. Quant à grand’ mère maternelle elle écrivait autrefois des petites comédies musicales qu'elle faisait jouer aux habitants du village. Quel héritage!!! Héritage dont bénéficiera aussi Marie-Pascale sa cadette, actuellement l'une de ses choristes. A 5 ans, dans les fêtes de famille on dresse le petit Florent sur la table pour qu'il chante. L'apprentissage du spectacle commence. Il va se poursuivre dans une troupe de majorettes à Bonneville en Haute-Savoie où la famille s'est vue contrainte de déménager.